Bonjour,
Comme de nombreuses autres villes, la commune a revu son programme de fleurissement. La politique de développement durable suppose moins de fleurs et plus de végétation durable (herbacées, vivaces, plantes grasses).
La gestion des panneaux est laissée au comité régional des villes fleuries et c’est lui seul qui les met à jour.
Une politique de l’environnement ne se limite pas au seul fleurissement. La ville a augmenté sa surface d’espaces verts avec la création de parcs et squares (Gervaise, Mortier, Bois St Denis, 5 squares dans les Noues…). Prochainement, elle ouvrira à la population la propriété MICHOT, sauvée de la promotion immobilière et aménagera le parc de Friedberg.
Les constructions, est-il utile de le rappeler, sont d’origine privée (ventes de gré à gré entre des propriétaires et des promoteurs) et la ville ne peut s’y opposer puisque la Loi DUFLOT supprime le COS et les surfaces minimales de terrain pour construire et que la loi nous impose la réalisation de 160 logements/an, dans le cadre d’un plan régional de 70000 logements/an sur toute l’Ile de France.
La politique de l’Etat est à la densification et le PLU voté par la ville, qui préserve les zones pavillonnaires est d’ailleurs jugé trop restrictif par le préfet. En clair, aux yeux de l’Etat, on ne construit pas assez !
Pour parer à ces constructions, le maire s’implique afin d’imposer des hauteurs maxi, que l’architecture s’intègre au quartier et, de l’avis général, s’il y a mécontentement au moment des travaux, chacun s’accorde à reconnaître la qualité des résidences.
Enfin, sur les impôts, plus fort taux ne signifie pas plus forts impôts.
Les taux sont pondérés par des bases qui sont à Villiers parmi les plus faibles du département, ce qui donne un impôt dans la moyenne (Lire le
Villiers-Infos n°102 page 12 & 13).
Cordialement,
Direction de Cabinet du Maire